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REPETITION DU DIALOGUE DES CARMELITES

Découverte du travail de mise en scène.

Guidés par madame Courbet et monsieur Borrini, les acteurs reprennent leurs repliques avec concentration et rigueur, afin de parvenir à la représentation la plus juste d'un texte sobre, simple et profond sur la foi et la communauté humaine.

La troupe nous accorde un moment privilégié et répond à nos questions sur l'état de jeu, la façon de s'approprier un personnage, l'occupation de l'espace sur scène... le quotidien de leur travail, si différent du nôtre.

Merci à mesdames Vigier et Moustier d'avoir organisé cette rencontre. Merci au TDI de nous avoir reçus.

 

REPETITION DU DIALOGUE DES CARMELITES

Lundi, 22 juin 2015

 

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Tras los atentados yihadistas de París en enero pasado, comente la reacción del estado español tomando en cuenta la relación al terrorismo que existe en este país.

 

Desde los atentados de París, el terrorismo integrista islamista no ha dejado de propagarse en el mundo y en Europa en particular, obligando los gobiernos occidentales a reaccionar para defender sus propios territorios, como lo vemos en España.

 

Según Mar Marcos (véase La hora de las religiones, El País, 5 de febrero de 2015), para luchar contra el terrorismo religioso, el gobierno debe proponer la enseñanza de las religiones como instrumento contra el fanatismo a los niños, que son alumnos, para permitirles entender las diferentes religiones y así, pensar por sí mismos, sin prejuicios. Según ella, si todo el mundo entendiera bien las religiones de los demás, no habría guerras de religión ni terroristas religiosos como el grupo yihadista. A causa de esta amenaza, España ha tenido que adaptarse aumentando sus fuerzas del orden y la cooperación internacional en este ámbito. Ignacio Cosido, que es el director de la policía de España, piensa que para derrotar el terrorismo, se debe fomentar la colaboración entre los países de la Unión Europea; o sea que Europa debe reforzar sus fronteras exteriores para impedir su difusión ya que los terroristas pueden viajar en la Unión Europea fácilmente con el espacio Schengen. Cabe recordar que hubo una época en que las fuerzas del orden de España que luchaban contra ETA no podían ir a Francia para arrestar a los terroristas que ahí se escondían. Posteriormente, en 2003, el 11-M causó una profunda conmoción en la ciudadanía española. Por eso, para Cosido, la cooperación internacional es indispensable contra las amenazas terroristas.

 

Para concluir, observamos que la reacción del gobierno español es esencialmente represiva y no se acompaña de medidas preventivas o de campañas de sensibilización sobre el laicismo en las escuelas como en Francia. Quizás, como lo sugiere Mar Marcos, la enseñanza de la historia de las religiones permitiera luchar contra el fanatismo a través del conocimiento de las diferentes culturas que cohabitan en Europa.

 

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Le 10 mai le président français François Hollande a inauguré le mémorial ACTe (ou si vous préférez Centre d’expression caribéenne et de mémoire de la traite et de  l’esclavage) à Pointe­à­pitre (Guadeloupe) qui ouvrira ses portes au plus tard, le 7 juillet  prochain. Conçu par l’architecte Pascal Berthelot, c’est le premier lieu d’exposition de cette ampleur dédié à l’esclavage. L’inauguration est décidée à une date stratégique. En effet,  le 10 mai 2001, 10 ans plus tôt, a eu lieu le vote de la loi Taubira reconnaissant  l’esclavage comme crime contre l’humanité. Cela a pour dessein d’apaiser une île ayant  des problèmes économiques et sociaux.  

 

Le mémorial ACTe s’inscrit dans la volonté de garder la mémoire de l’esclavage vivante, de la réhabiliter envers les Guadeloupéens descendants d’esclaves venus d’Afrique. On avait une tendance à oublier cette page sombre de l’histoire en Guadeloupe soit parce qu’elle est lointaine soit parce qu’elle est un tabou pour le plus grand nombre.  C’est ce que constate l’historien Pap Ndiaye. Pourtant ce sont les représentants du  Comité international des peuples noirs (CIPN), dont le président Luc Reinette, qui ont  demandé un musée sur l’esclavage. 

 

Pour faire court la Guadeloupe est devenue une colonie française en 1635.  L’économie est orientée vers l’exploitation agricole (canne à sucre, bananes,...). Pour  faire venir de la main d’œuvre, des esclaves africains y sont venus par bateau. Ils  subissent la maltraitance et des conditions de travail difficiles. Mais en 1794, l’esclavage  a été aboli, ils sont alors libérés, mais pour un court laps de temps avant que Napoléon Bonaparte  le réinstaure en reprenant l’île par la force en même temps, matant la rébellion menée par  Louis Degrés et Joseph Ignace. Il a fallu attendre 1848 pour que l’esclavage soit aboli  définitivement par la France.  Mais rien n’a été fait pour réparer à proprement parler ce qui est fait.  En intégrant l’esclavage dans l’histoire officielle, le mémorial a pour but de  calmer les ardeurs liées à ce passé trouble. Un point de vue partagé par la plupart des  acteurs du projet. Mais s’il s’agit de se demander si ce lieu pourra réparer les crimes  commis par la France, les avis divergent. Le financement du projet par l’État peut le justifier.  Pour Pap Ndiaye, on peut réparer non pas l’esclavage en lui-même mais ses  conséquences. Cependant pour le CIPN, le mémorial vient raviver les tensions entre la  France et la Guadeloupe ainsi que les revendications indépendantistes (Luc Reinette est  un indépendantiste). Avec son président, il veut de vraies indemnités pour les familles  d’anciens esclaves ainsi qu’une excuse de la part de M. Hollande pour les crimes  d’esclavage commis par la France. Or pour Myriam Cottias se repentir tout en abordant  les choses mènera une opposition Blancs contre Noirs, ce que la population n’accepte  pas vraiment. Jacky Dahomey, philosophe, constate un délire mémoriel des  indépendantistes, repliés sur la question identitaire, niant la distance historique, alors  qu’ils sont citoyens français depuis 170 ans. 

 

Le problème le plus évident concerne la localisation du mémorial ACTe. Fallait il  le construire sur le lieu où l’esclavage est originaire, c’est-à-dire en France. Myriam Cottias  affirme qu’il doit y avoir un musée sur l’esclavage en métropole car cette partie occulte de  l’histoire de la France est pourtant très importante. Elle met en avant la citoyenneté et la  justice sociale. Pap Ndiaye partage aussi ce manque à combler mais privilégie une  approche plus intime, liée aux trajectoires des individus, de façon à pouvoir parler à  tout le monde.  

 

David Nguyen, ECE2 2015

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La Tempête est l’une des plus belles pièces de William Shakespeare, dramaturge anglais du XVI e siècle. Cette pièce a été mise en scène par José Renault et Pierre Wakaw Gope, originaire de Maré. A travers ses mises en scène Pierre Gope aime s’appuyer sur la théâtralité des cultures océaniennes. Il réalise des mises en scènes qui rappellent la société kanak. C’est ce qu’il y avait sans doute de plus intéressant dans cette mise en scène de « La Tempête ».

 

En effet, on retrouve plusieurs références à la culture kanak comme : l’utilisation du mot « coutume », les chants en nengone (qui est la langue maternelle de Pierre Gope), l’utilisation d’un filet de pêche, la présence d’un esprit (les Kanaks accordent une très grande importance aux croyances spirituelles de leurs aïeux), … D’autre part, le décor reste simple par l’installation d’une estrade sur laquelle une plus petite est positionnée. L’estrade la plus petite représente la maison de Prospéro, il était le seul à y accéder (ainsi que sa fille Miranda). Cet emplacement étant le plus haut il lui permet de dominer les autres personnages, c’est une bonne manière de montrer qu’il est le « roi » de cette île, on pourrait même parler de « chef » pour rester dans les termes de la culture kanak.

 

De plus, il y avait des jeux de lumière (rouge, vert, blanche), ce qui permettait de distinguer les moments où Prospero et sa famille parlaient de ceux de ses ennemis. D’ailleurs, j’ai trouvé paradoxal le choix des couleurs car le vert était choisi pour ses ennemis et le rouge pour lui-même.

 

Mis à part ces choix de mise en scène, je n’ai pas tellement apprécié la pièce. J’ai trouvé que les comédiens n’articulaient pas assez, ils parlaient trop vite (ils « boulaient » le texte), leur diction était mauvaise. L’attitude des personnages sur scène m’a déplu (personnage ivre sur scène), ils avaient des gestes parasites (tirer sur la veste, piétiner le sol,…).Puis surtout le plus gênant était sans aucun doute les fautes de français à répétition.

 

Delphine Ausser, ECE1 2015

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La prohibición constitucional de la reelección presidencial casi se había generalizado en América Latina, pero en los últimos años, cada vez más países de la región se han convertido en una excepción con una tendencia a la reelección de los presidentes después de una enmienda constitucional. Esta práctica, que es común en África, ha surgido recientemente en América Latina y los presidentes se ven tentados por el acceso a una presidencia vitalicia.

 

En efecto, Venezuela fue uno de los primeros países en permitir presentarse a las elecciones indefinidamente. Así fue como Hugo Chávez fue capaz de permanecer en el poder durante 14 años, desde 1999 hasta 2013. Además, Evo Morales fue elegido presidente de Bolivia por tercera vez en octubre pasado, justificándolo por la interrupción de su segundo mandato, debido a la transformación de la República de Bolivia, en Estado Plurinacional de Bolivia. Podemos ver que Ecuador está haciendo lo mismo; en efecto, la Corte constitucional de Ecuador hizo posible la modificación de la constitución que permitirá a Rafael Carrea realizar un tercer mandato.

 

Hoy en día, el principio del mandato único ha sido cuestionada en la mayoría de los países latinoamericanos. Sólo México, Guatemala, Paraguay y Honduras no permiten que el jefe de Estado se presente más de una vez ante los votantes. Estos cambios representan un peligro real, ya que cuestionan el principio democrático de la alternancia y son una verdadera deriva autoritaria. La reelección presidencial no es antidemocrática, pero el uso y abuso de la reelección permanente es lo que resulta peligroso.

 

Gwenaëlle Genet, ECT2 2015


Léase también el artículo  publicado en  La voz de Galicia, el  5 de junio de 2015

 

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Las elecciones andaluzas del 24 de mayo han anunciado un cambio en el paisaje político en España. Desde el inicio de la Transición, había habido una alternancia política entre dos partidos: el PP y el PSOE. Era el bipartidismo. Pero se ha producido un cambio con el auge de dos « nuevos » partidos: Podemos y Ciudadanos. Por eso se habla hoy en día de cuatripartidismo y cabe analizar qué ventajas y desventajas puede aportar esta nueva situación en España.

 

Pienso que este cambio político no puede mejorar la calidad de la democracia en España. El hecho de que la población haya votado más a la izquierda y por un partido radical (Podemos), muestra que los españoles han perdido confianza en el PP y en el PSOE, lo que es peligroso para el futuro del país. El reparto de los escaños entre cuatro partidos y el fin de las mayorías absolutas pueden generar inestabilidad en las instituciones. Además, pienso que las ideas de Pablo Iglesias, el líder de Podemos, son peligrosas para España y para Europa: como oponerse a la libertad de las empresas y a las élites. Estas ideas pueden lastrar las relaciones comerciales entre España y Europa y a fortiori entre España y el mundo.

 

Pienso que el cuatripartidismo no puede mejorar la calidad de la democracia pero éste es solo mi punto de vista, el cuatripartidismo tiene también ventajas, como por ejemplo el hecho de estimular el debate político.

 

 

Ryan Payet, ECE 1 2015

 

 

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Le vendredi 31 juillet, a eu lieu au centre culturel Tjibaou la projection du film Charlie’s Country dans le cadre de la NAIDOC week (National Aborigines and Islanders Day Observance Committee). Ce film nous a été présenté par le nouveau consul australien, pour qui il est important de garder le lien entre la Nouvelle Calédonie et l’Australie. La projection de Charlie’s Country devant le public calédonien permet de resserrer les relations entre ces deux pays. « Charlie’s Country est un film difficile à voir, mais c’est un très beau film » affirma-t-il avant le début de la projection.

        Le film est signé Rolf De Heer qui a remporté le prix spécial Un Certain Regard pour son film Ten canoes au festival de Cannes en 2006. Charlie’s country est un film sur le nouveau mode de vie des aborigènes dans les territoires reculés de l’Australie. Charlie vit dans sa communauté en compagnie des siens et de quelques blancs chargés du maintien de l’ordre et de la surveillance du trafic de drogue. L’alcool, un réel fléau pour les communautés aborigènes, est interdit au sein du village. Charlie n’aime pas ce mode de vie, il ne se sent plus chez lui, pour lui, les « blancs » lui ont volé sa terre et celle de ses ancêtres. Il décide de quitter son village et de partir dans le bush afin de tenter de vivre comme autrefois, avant la domination des blancs. A l’article de la mort, il est retrouvé et envoyé dans un hôpital à Darwin. Charlie découvre la ville et le mode de vie urbain, il trouve d’autres aborigènes avec qui il sombre dans l’alcool. C’est alors qu’il se retrouve en prison pour purger sa peine, après avoir agressé un policier. A sa sortie, il décide de rentrer dans son village, assagi, plus mûr, mais toujours peu convaincu par son mode de vie.

           Les enjeux de ce film sont très intéressants. J’ai voyagé à plusieurs reprises en Australie et je n’ai dû voir que deux ou trois aborigènes en ville. Je ne me suis jamais intéressé à leur culture, à leur façon de vivre… Charlie’s country m’a permis de poser un autre regard sur cette population, une population qui partage tout, des cigarettes à l’argent. On découvre dans ce film qu’il existe toujours un rapport de domination entre les blancs et les aborigènes. Charlie est un personnage tiraillé entre la volonté de vivre sur sa terre avec les siens, une terre qui n’est cependant plus la même du fait de la présence et du contrôle de la police qui interdit les activités traditionnelles telles que la chasse par exemple et le fait de vivre en ville et de s’adapter au mode de vie urbain et solitaire. Il me semble que le sentiment de Charlie n’est pas isolé et qu’il doit être celui de la plupart des aborigènes actuellement, une population qui se sent rejetée et mise à l’écart.

(Le 20 août, une conférence sur la guerre de 1917 aura lieu au centre culturel Tjibaou, elle sera présentée par le Département de Recherche et du Patrimoine.)

 

 

Ryan Payet, ECE 1 2015

 

 

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En Agosto de 2015, un centenar de inmigrantes murieron cruzando la frontera entre Turquía y Europa. Aylan Kurdi, un niño de tres años, fue uno de ellos. La fotografía de su cuerpo se ha difundido a través del mundo. Entonces, cabe preguntarse por qué esta imagen y no otra, y qué impacto ha podido tener en la causa de los inmigrantes.

 

Cuando uno observa la famosa fotografía, la impresión predominante es la del cuerpo de un niño que parece solamente inocente. Claro, la muerte es triste, pero los cuatrocientos mil muertos de la guerra siria nunca han tenido un « éxito mediático » tan importante como Aylan Kurdi ¿Por qué? Porque simboliza el « niño sacrificado » de la crisis migratoria europea. Además, las incógnitas sobre la posible condición de traficante del padre de Aylan, constituyen exactamente lo que buscan algunos periodistas: más episodios para prolongar la historia.

 

Con todo, este fenómeno ha tenido efectos tan importantes como el hecho de que Vladímir Putin despliegue soldados en Siria, mientras espera la constitución de una coalición internacional para estabilizar la situación en Siria y evitar la huida masiva de nacionales sirios. Pero si observamos el comportamiento de los países europeos, el señor Putin puede esperar sentado. En efecto, la fotografía ha provocado una ola de solidaridad y casi todos los países acogen inmigrantes: Alemania, para empezar, cuya población no es joven y necesita regenerarse demográficamente, pero también Francia y España, cuyo índice de desempleo es cada año peor.

 

Cyril Charriaud, ECE 1 2015

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A pesar del crecimiento económico de América Latina de los últimos años, basado en los vientos favorables de la economía internacional, Argentina atraviesa un momento crítico. 13 años después de su anterior quiebra, el país está de nuevo al borde de la cesación de pagos. Actualmente, la madre del cordero son los fondos buitres que, según la presidenta Cristina Fernández, están extorsionando al país. Sin embargo, a esta coyuntura se añaden problemas estructurales.


La deuda es una herencia que Argentina arrastra desde hace décadas y que, tras diversas renegociaciones, parecía en vías de resolverse hasta que el fallo a favor de los fondos buitres condenara el estado argentino a reembolsar a dichos acreedores a expensas de los demás tenedores, sumiendo de nuevo el país en la dependencia. Otro talón de Aquiles argentino es la insuficiente diversificación y productividad de su tejido económico, debido al tipo de intercambios que mantiene con China y que, según Enrique Iglesias1, la reducen a “mera proveedora de materias primas”, generando otra forma de dependencia. Para colmo, los esfuerzos para pagar la deuda han conllevado una escasez de divisas y la política de la señora Kirchner ha provocado la desconfianza de la población, ya que las medidas para proteger el peso y evitar la evasión de divisas han fomentado un mercado negro del dólar y han disparado la inflación.


En semejante contexto, si comparamos el caso argentino con el de Grecia, cabe observar las consecuencias del aislamiento de una nación que carece de bloque que la respalde. Lamentablemente, hoy en día, la integración regional latinoamericana es impotente frente a los ataques a una de sus economías, dando la impresión de que los fondos de inversión pueden ser más poderosos que los gobiernos. Cabe entonces preguntarse si no es necesario reforzar la regulación financiera internacional para evitar situaciones como ésta.


1 Secretario iberoamericano

 

Gaëlle Cabanis – ECT2 2014

 

 

Complementos

Véase http://www.minutouno.com/notas/340791-no-hay-pais-sostenible-si-siguen-vigentes-los-fondos-buitre  

(324 palabras)

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En España, la corrupción no solo es frecuente, sino creciente, en particular en el mundo de la política. Como decía Lord Acton, historiador británico del siglo XIX, " El poder corrompe, el poder absoluto corrompe absolutamente". Sabemos que Cataluña y Andalucía se llevan la palma de la corrupción por ser las dos comunidades más ideologizadas.

 

A causa del auge de la corrupción, desde hace dos años, se han multiplicado las leyes de transparencia y las investigaciones. Actualmente el Estado está llevando a cabo una investigación sobre el CDC, el principal partido independentista catalán, imputado por clientelismo y otros problemas como la falta de transparencia en el uso de dinero público.

 

Sin embargo, el CDC acusa el Estado español de conspiración. Se ha defendido de esta manera porque las elecciones estaban muy cerca y el CDC ha dicho que el Estado lo imputa para  desestabilizar el proyecto soberanista ya que el Estado no quiere que Cataluña sea independiente. Con este discurso victimista, trata de desviar la atención de los catalanes de la corrupción que salpica este partido. Antes, ya se había producido un caso similar con la familia Pujol que cometió un gran fraude fiscal.

 

El ejemplo catalán demuestra cómo las ideologías ciegan a las personas: pierden su sentido crítico y la casta se aprovecha. Cabe recordar que la corrupción es uno de los mayores problemas de España, tras el paro.

 

Está por ver si España va a poder superar la complicada situación que plantea el soberanismo catalán, para poder dedicarse plenamente a mejorar el funcionamiento de su democracia.     

 

 

Julie Nguyen – ECT1 2015

 

 

 

Sabemos que Cataluña es una comunidad autónoma que quiere su independencia. Los diferentes partidos políticos se han separado en dos bandos: los que están a favor o en contra de la independencia; pero este año al fin de las elecciones, los soberanistas liderados por Artur Mas han ganado.

 

En su declaración, Inés Arrimadas hace alusión a una investigación que imputaba el CDC y determinadas empresas por clientelismo, entre otras cosas. Globalmente, se les acusa de corrupción política pero Artur Mas ha recurrido a un « discurso victimista » y dice que es una conspiración del Estado contra el proyecto secesionista. Entonces, Artur Mas no ha dado ninguna explicación válida a los ciudadanos sino que ha intentado desviar su atención.

 

Analizando objetivamente la situación, observamos que la corrupción existe en Cataluña, las pruebas son evidentes pero un sector mayoritario de la ciudadanía catalana ha votado por el proyecto soberanista.

 

Lo que está ocurriendo en Cataluña demuestra que hay que disminuir la corrupción porque como decía Lord Acton, historiador británico de siglo XIX, « El poder corrompe; el poder absoluto corrompe absolutamente ». No hay que dar el poder absoluto para poder salvar el estado cuando todavía estamos a tiempo.

 

 

Marie Astrid Orton – ECT1 2015

Anchor 11

Hoy en día, España atraviesa lo que podríamos definir como una situación de inestabilidad política y social. Dicho estado tiene dos causas: la voluntad soberanista de Cataluña y la incapacidad de formar un gobierno tras las elecciones generales del 20D.

 

Por una parte, el siete de setiembre, Puigdemont accedió al poder en Cataluña. El primer problema es que no ha ganado las elecciones gracias a la mayoría absoluta. Los partidos en el Parlament han debido pactar para lograr la investidura de este defensor de la independencia y del referéndum del 9N. En efecto, a Puigdemont no le importó la sentencia de anticonstitucionalidad de T.C y apoyó la proclamación de independencia de Cataluña aunque según la Constitución española "España es indivisible".

 

Por otra parte, para poder zanjar el problema de Cataluña, es indispensable formar un gobierno a nivel nacional pero la situación en este ámbito no es halagüeña. A pesar de la ley de d'Hont, que hasta ahora había favorecido la alternancia al poder del PP y del PSOE, el cuatripartidismo es hoy realidad en el Congreso de los diputados. Por primera vez, pues, el Rey se encuentra ante la tesitura de proponer un candidato que podrá ser o no investido. En efecto, los partidos deben pactar, lo que significa que deben hallar un consenso sobre el problema catalán y sobre la reforma constitucional.

 

Para concluir, esta situación está afectando la recuperación económica de España. Pienso que se va a tener que llevar a cabo una reforma constitucional para que en el futuro las instituciones puedan recobrar la confianza de los ciudadanos de a pie, con una cohesión nacional fortalecida.

 

 

Juliette Murcie – ECE3 2016

Anchor 21

La película cuyo título es También la lluvia consigue captar la atención de cabo a rabo. Icíar Bollaín crea un paralelismo entre dos historias emotivas que no dejan de cruzarse durante la película.

 

La primera historia narra la lucha de una parte de la población boliviana contra el aumento del precio del agua. En efecto, la nueva suministradora de agua cierra los pozos, obligando a los habitantes más pobres a pagar más de lo que ganan por este recurso de primera necesidad.

La segunda historia relata la llegada de los conquistadores españoles, entre los cuales destaca Cristóbal Colón, al Nuevo Mundo, con una « mise en abîme » a través del rodaje de una película en la película. La película explica como trataron los españoles a los amerindios desde su llegada al continente americano. La mayor parte de los conquistadores decidieron maltratar a la población indígena y utilizarla como esclavos a su servicio, mientras que otros como Bartolomé de Las Casas defendieron los derechos de los amerindios.

Podemos ver que estas dos historias narran el pasado y el presente de los amerindios. Pero si tuviera que elegir la temática de la película que más me ha llamado la atención sería la manera en que el tándem director-productor se interesa por la causa de los amerindios.

En efecto estos dos personajes defienden la misma causa pero en dos épocas diferentes. Sebastián, el director, concede más importancia a los hechos históricos reconstituidos por su película. La colonización bárbara de los indígenas por los españoles le afecta tanto que no puede despegarse de su película. Hasta el punto de que desatiende los problemas que le cercan como, por ejemplo, la situación degradante de los bolivianos frente al agua.

Sin embargo Costa, el productor, es totalmente opuesto. En efecto, le da más importancia a la situación que atraviesa la población de Bolivia con respecto al problema del agua, hasta soslayar su obsesión sobre la financiación de la película. Este fenómeno se hace patente cuando decide ayudar a María, la hija de Daniel, en lugar de seguir su grupo para continuar el rodaje de la película lo más lejos que posible de los altercados.

Esta temática de la película es la que más me ha llamado la atención porque permite ver hasta qué punto el contacto con la realidad puede transformar a algunas personas, como en el caso de Costa, o como otros permanecen en su torre de marfil sin que nada afecte su visión idealizada del mundo. 

 

 

Delphine Ausser – ECE2 2016

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Le vendredi 13 mai le Théâtre de l’Ile a accueilli la compagnie Carinae pour le représentation de la pièce Après une si longue nuit écrite par Michèle Laurence. C’est une pièce qui a vu le jour en Nouvelle-Calédonie, c’est sans aucun doute un énorme privilège pour le Théâtre de l’Ile d’avoir été choisi pour que la pièce y soit jouée pour la première fois.

 

Avant tout, il me semble nécessaire de résumer l’histoire de cette pièce en quelques mots. Tekitoi, Sarah, Samir et Pierrot sont quatre orphelins issus de cultures, religions et pays différents qui se retrouvent des années plus tard à l’hôpital où leur mère adoptive vit ses derniers instants.  Ils ont tous les quatre connu un passé difficile qui a laissé des cicatrices fragiles, ces retrouvailles dans la salle d’attente ouvrent à nouveau ces cicatrices douloureuses. Tekitoi, jeune africain qui a échappé à la mort en se réfugiant dans une église,

a été le témoin du massacre d’autres enfants guère plus âgés. Sarah vit à Jérusalem et a vu ses parents ainsi que son petit frère mourir dans une explosion. Samir, jeune israélien, a vu sa famille se faire tuer pendant la guerre et Pierrot, enfant d’une prostituée, a été abandonné dans une poubelle.

 

C’est une pièce que j’ai appréciée pour diverses raisons. Dans un premier temps, le thème de cette pièce m’a semblé intéressant dans la mesure où il est d’actualité. En effet, la guerre est le quotidien de nombreuses personnes partout dans le monde. La pièce nous donne un aperçu de la manière dont les victimes de cette barbarie arrivent à vivre après les traumatismes vécus et la façon dont ces traumatismes se répercutent sur leur vie d’adulte. Cela se perçoit notamment à travers le personnage de Tekitoi. Il a su nous montrer que l’on peut vraiment se détacher du vécu de la Guerre. A son adoption, le jeune africain semblait être le plus traumatisé par la guerre qui a frappé son pays, à tel point qu’il ne pouvait plus parler. Dix ans plus tard, Tekitoi paraissait être un adulte normal, sans même que l’on soupçonne tout ce qu’il a vécu.

 

Compte tenu du thème les sauts dans le passé étaient nécessaires, et c’est un point que j’ai bien aimé. Ils ont permis de faciliter la compréhension de la pièce sur de nombreux aspects. Laurent Natrella, metteur en scène, a parfaitement su intégrer les flash- back au cours de la pièce sans perdre les spectateurs. Chacun des comédiens avait un détail qui faisait toute la différence entre le passé et le présent (la manière de se coiffer pour Sarah, la veste pour Pierrot, le cartable pour Samir et le bonnet pour Tekitoi). Dès lors que Samir portait son sac à dos, le spectateur savait instantanément qu’il s’agissait de son enfance et non plus du moment présent. Ces flash-back me paraissaient très utiles pour comprendre la relation qui unissait les quatre orphelins. C’est notamment le cas concernant Tekitoi et Sarah, à travers ces retours en arrière, nous pouvons facilement apercevoir le lien fort qui les unissait dès l’adoption et qui n’a cessé de grandir avec le temps.

 

Le second point positif que l’on peut relever dans la mise en scène, c’est l’occupation de l’espace. Les comédiens ont occupé l’espace tout au long de la pièce, et c’est un point que j’apprécie beaucoup. Ce que j’ai le plus aimé, c’est l’émotion qui se dégageait des comédiens, ils ont su transmettre chaque émotion aux spectateurs que ce soit par le regard ou par les mots. Cela se remarque dès le début lorsque Sarah retrouve Tekitoi dans la salle d’attente. Ou encore quand ils finissent tous les quatre par se réconcilier et qu’il se comportent comme si rien ne pouvait les séparer, leur lien entre frère et soeur étant plus fort que tout. Après tout ce qu’ils ont traversé, ils arrivent enfin à oublier cette terreur qu’ils ont subie et qui semblait indélébile jusqu’à présent.

 

Un dernier aspect qui m’a énormément plu c’est l’interprétation du ballon rouge qui s’envole à la fin de la pièce. Ce ballon de baudruche apparaît à de multiples reprises au cours de la pièce (Tekitoi se l’accrochait au poignet quand il était petit par exemple). A la fin quand la lumière s’éteint sur les comédiens, un seul spot éclaire ce ballon qui est en train de s’envoler. Je ne pense pas que ce ballon ait une interprétation particulière, il laisse libre cours à l’imagination de chacun des spectateurs. Je le perçois comme l’âme de Manou (la mère adoptive) qui s’envole vers les cieux. Ce qui me laisse supposer que ce ballon représente l’âme de Manou, c’est le fait que la scène se termine lorsque Tekitoi annonce à ses frères et soeur la mort de leur mère, et tout de suite après, seul le ballon est mis en valeur par cette lumière.

​​

Le seul point négatif que j’ai noté concerne les costumes. En effet, je trouve qu’il n’y a pas eu de réelle recherche concernant les costumes. Seul le personnage de Pierrot se détachait du lot avec sa salopette.

 

 

Delhpine Ausser, ECE2 2016

 

Anchor 14

Entre finales del siglo XX y principios del siglo XXI, un buen número de países de América latina han tenido líderes políticos muy emblemáticos. Ahora, gran parte de estos personajes carismáticos están desapareciendo y se está produciendo un cambio de ideología en dichos países.

 

El fin del kirchnerismo en Argentina, del chavismo en Venezuela o de la influencia de Lula en Brasil se está confirmando en 2016. En efecto, los pueblos latinoamericanos parecen estar hartos de los regímenes personalistas y se están despertando. La hegemonía de la izquierda que ha marcado el inicio del milenio ha terminado. En Argentina el 25 de diciembre, Macri, el candidato del partido político opuesto al kirchnerismo ha ganado las elecciones presidenciales, el Partido Socialista Unido de Venezuela, de Maduro, actual sucesor de Hugo Chávez, ha sufrido una derrota en las elecciones legislativas en 2015 lo que no se había producido desde largo tiempo. Además en Brasil, delfina de Lula, ha sido destituida por haber falseado las cuentas públicas.

 

Todo esto apunta a que Latina América está viviendo un verdadero cambio de rumbo político. El hecho de que la población se haya despertado y cuestione las ideologías de los regímenes personalistas es significativo. Sin embargo, cabe preguntarse si América latina logrará superar algún día la polarización tanto social como política que encarnan los -istas y los -anti-istas en dichos países. 

225 palabras

 

 

 

Ryan Payet – ECE2 2016

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José Mujica, Pepe para sus conciudadanos, fue presidente de Uruguay de 2010 a 2015. Es un hombre muy apreciado por su franqueza. Esta figura estuvo preso 12 años, durante la dictadura de Uruguay. Fue torturado y encerrado en un pozo. Pero se las arregló para perdonar y ha utilizado su pasado para encaminar su país hacia un mejor futuro. Según él, debemos perdonar sin olvidar.

 

En efecto, la visión de José Mujica es muy pacifista cuando se trata del desarrollo del porvenir de los ciudadanos de Uruguay y hasta para los ciudadanos del mundo, ya que nos invita a que, frente a los grandes errores de la humanidad, aprendamos a perdonar para encontrar la paz para nosotros mismos. Si alimentamos nuestro rencor, haremos aflorar a la superficie reacciones violentas. Y, sobre todo, no podremos construir un futuro común con otras personas. En efecto, si vivimos con las viejas rencillas es posible que reproduzcamos los mismos errores. Y corremos el riesgo de hacer cargar con la culpa a personas inocentes, generaciones herederas de crímenes que no cometieron. Luego, perdonar es una forma de aceptar y así superar lo que nos afecta.

 

Sin embargo, a mí me parece importante no olvidar, porque recodar las lecciones del pasado nos permite no tropezar otra vez con la misma piedra en el futuro. Para un mejor desarrollo social y político, cabe estudiar la historia y retener lo más importante. Además, es imprescindible recordar los hechos pasados porque son los pilares del presente y nos permiten comprender el mundo moderno y construir un porvenir más sólido.

 

Por consiguiente, cuando José Mujica se expresa sobre su pasado tenebroso, muestra la importancia erigir un camino común. Por eso debemos evitar aferrarnos a los errores y no cargarnos de odio porque éste es el camino fácil. Pero tampoco dice que perdonar es olvidar; al contrario tenemos que recordar porque el pasado no es prescindible sino que es fuente de conocimiento.

 

322 palabras

 

Margaux Chatenay – ECE2 2016
 

Ver el video 

 

 

Anchor 15
Ancla 15

De los muchos referéndums que se están convocando en 2016, si se analizan los de Reino Unido, Colombia, Venezuela y Cataluña, se observará que a pesar de perseguir objetivos muy dispares, todos ellos tienen consecuencias negativas para sus dirigentes y, en algunos casos, para sus ciudadanos.
Cameron sometió a votación la salida de la UE por motivos electoralistas que lo llevaron a la dimisión, con una vuelta atrás imposible, a pesar del arrepentimiento de los ciudadanos británicos ante el caos que generaba el resultado. Santos, en cambio, necesitaba legitimar el proceso de paz entre el gobierno y las FARC, aunque fuera con un escueto 13% de síes, pero lo perdió contra todo pronóstico y el acuerdo que debía constituir el legado de su mandato ha quedado comprometido. Nicolás Maduro se enfrenta al reclamo de un referéndum revocatorio al que intenta poner trabas jurídicas por todos los medios, echándole así todavía más leña al fuego a la indignación de un amplio sector de venezolanos y cavando su propia tumba política. Por último, el referéndum anticonstitucional sobre la independencia de Cataluña está abocando a la coalición de Junts pel si a un callejón sin salida, como lo demuestra el hecho de que el independentismo esté perdiendo fuelle tanto en la calle como en las urnas.
Así pues, la celebración de un referéndum no cosa baladí para un gobierno por las complejas circunstancias en que suele convocarse. Tampoco es una varita mágica para salir del atolladero debido a las consecuencias que puede tener a largo plazo, como bien lo afirma Paul Preston (1), al recordarnos que un referéndum puede arrojar resultados contrarios al interés común.

271 palabras

(1) Director del centro de Historia de España, en la London School of Economics
 

Natalia Ramón Leblanc - profesora

Véase El País Opinión

Ancla 16
Ancla 1

Este año ha sido, una vez más, muy interesante. Han pasado muchas cosas ; algunas pequeñas, como la elección del señor Donald Trump a la presidencia de los Estados Unidos, el ocho de Noviembre ; otras mucho más importantes, como el hecho de que Michael Phelps ganara cinco medallas más en los juegos de Rio.

 

Pero para mí, el acontecimiento más importante del año ha sido el hecho de otorgar a Bob Dylan el Nobel de literatura. En efecto, es revelador de lo mucho que ha cambiado la forma de percibir la cultura. De un día para otro, ésta ha dejado de ser el coto privado de los intelectuales y semejante atribución ha acercado una generación a los premios Nobel.

 

La reacción (o mejor dicho, la indiferencia inicial) de Bob Dylan también ha sido interesante. Traduce la sorpresa que le causó la noticia al autor de Like a rolling stone. Sin embargo, el hecho de que aceptara el premio demuestra que Dylan, a diferencia de Sartre, es lo bastante humilde como para dar un apretón de manos a quienes  consideraba sus detractores. Incluso si, como Sartre, Dylan se sigue mostrando muy crítico con muchos aspectos de nuestra sociedad.

Para mí, esta recompensa es un sueño hecho realidad. Es una lucha por un reconocimiento que se ha postergado durante cincuenta años y que acaba con una victoria: a partir de ahora, la música folk-rock es percibida como arte, y así se pone encima de otras formas barbáricas de la música popular. Además, es una forma de proclamar “Rock’n roll will never die”  ante el mundo.

 

El único punto negativo es el tiempo que esta lucha ha llevado… Si hubiera acabado en 1970, Jim Morrison habría ganado este premio antes de su muerte en París, el tres de Julio 1971. En cualquiera caso, ahora, Jim puede estar satisfecho: la lucha que empezó está finalizada… “This is the end, of our elaborate plans…”

E.D

Ancla 17

Es imposible hablar de memoria histórica en España sin evocar la Guerra civil y sus consecuencias. Para nosotros, es la primera causa del debate alrededor  de este tema. Es verdad que otros países tienen un triste pasado pero, para España, el deber de memoria es una tarea difícil. Muchos hechos fueron olvidados al principio por necesidad y luego por desidia.

Para empezar, la Guerra civil sigue planteando un problema. En efecto, como nos lo recuerda Julio Llamazares en un artículo publicado en El País el año pasado, el Partido Popular no ha condenado el Golpe de Estado de 1936, tras el cual se impuso la dictadura de Franco hasta 1975. Lo más importante fue que entre 1936 y 1939 murieron un millón de personas, y los descendientes de los Republicanos necesitan el reconocimiento de las víctimas del franquismo. Por eso en 2016, la alcaldesa de Madrid y su equipo propusieron, entre otros, un cambio de nombre del monumento “Avenida de la Victoria”, que conmemoraba el franquismo, y que se llama hoy “Avenida de la memoria”, en homenaje a las víctimas de aquella época.

Se comprende que con la urgencia de promulgar la constitución en 1978, se pasó demasiado rápido a la transición democrática después de la muerte de Franco, sin tomar el tiempo necesario para hacer el deber de memoria; sin embargo, ahora que han transcurrido más de cuarenta años, ya es hora de enfrentarse con esta asignatura pendiente.

Manon Robillard

Léase también

El pasado, Julio Llamazares  

Defectos de los españoles, Frédéric Beigbeder

1977, el año fundacional, Joaquín Prieto

memhistorica
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